Des écologistes sectaires s’en sont pris à Fabien Roussel qui appelait à ce que la gastronomie française soit accessible à tous les français. Encore une preuve que la gauche woke et la gauche communiste au sens historique du terme sont irréconciliables.
À trois mois du premier tour de l’élection présidentielle, le candidat investi par le Parti communiste Fabien Roussel n’avait sans doute pas prévu de déclencher une telle polémique. Ce dimanche 9 janvier, alors qu’il était invité dans l’émission « Dimanche en politique » sur France 3 pour défendre son programme, il a déclaré vouloir rendre accessible « le bon vin, la bonne viande et le bon fromage » aux plus modestes.
Par ces mots, Fabien Roussel a commis l’irréparable. En effet, l’élu communiste aurait du savoir que défendre la gastronomie française était raciste. C’est en tout cas ce qu’ont décrété une poignet d’écologistes sectaires sur Twitter en réaction à l’émission : « Je ne bois pas. Je suis végétarien. J’espère que je ne suis pas l’anti-France », a tweeté Sergio Coronado, ex-député EELV. Et Sandrine Rousseau, finaliste malheureuse de la primaire des Verts, d’ajouter que le couscous est le « plat préféré des Français»
Le bon vin, la bonne viande et le bon fromage représentent la France qu’ils veulent déconstruire
« J’aime le fromage, j’aime la viande. J’espère que je ne suis pas réactionnaire », s’est empressé de répondre, Ian Brossat, directeur de campagne de Fabien Roussel et adjoint au maire de Paris, constatant le début d’une polémique. Et d’ajouter, dans un second tweet : « Et au passage, pour ceux qui réagissent au quart de tour, il parle d’augmenter les salaires pour permettre à ceux qui le veulent d’avoir accès à une alimentation de qualité. Mais l’augmentation des salaires, j’imagine que c’est vieille gauche et dangereux aussi. »
Ce qu’on comprend à travers cette polémique c’est que décrire la gastronomie française par une bonne viande, un bon fromage et du bon vin révulse les idéologues sectaires et adeptes du wokisme parce que cela fait référence à une partie de la France dans ce qu’elle a de charnelle, c’est à dire ce qu’ils veulent déconstruire.
- Crédit photo : capture d’écran – “Dimanche en Politique” France 3